4 mai 2024

Evry étape du Front de gauche

Hier soir, le Front de gauche avait donné rendez-vous aux Evryens. 4 candidats de la liste aux élections européennes ont pendant plusieurs heures confronté leurs idées à celles des participants dans la salle.

Christian Picquet de la gauche unitaire  a ouvert la réunion par une brillante intervention argumentée autour du Front de gauche et de ses positions. Marc Roumejon a,  après avoir apporté le soutien de front aux salariés en lutte dans le département citant de nombreux cas, expliqué l’apport du PCF à ce front.

 

Elodie Vaxelaire  remercia tout d’abord les militants d’Evry et Corbeil-Essonnes, et salua la présence dans la salle de Bruno Piriou,  puis, nous exposa les positions environnementales du Front de  gauche,  pour qui cet aspect du combat est primordiale.
Le quatrième candidat présent fut le plus émouvant, Philippe Juraver  a, en quelques sorte lors de cette rencontre, fait ses débuts dans l’exercice périlleux des débats politiques. Ce syndicaliste qui avant le parti de gauche n’avait jamais adhéré à un parti politique, nous a parlé avec son coeur des problèmes de transports, de respect des salariés, et de l’Europe sociale que nous souhaitons.

Le débat qui s’ensuivit avec la salle fut très riche. Un exemple : une dame qui assistait à sa première réunion publique posa des questions très précises sur les positions du Front de Gauche concernant les problèmes internationaux.

Les candidats n’esquivèrent aucun sujet dans leurs réponses.

La conclusion vint de Patrice Finel Président du Groupe Parti de Gauche du Conseil général de l’Essonne. Pour plus de détails sur cette intervention voir  le blog de ce dernier qui est le mieux placé pour en parler. http://www.blogfinel.com/Le-Front-de-gauche-a-Evry_a657.html

J’ai donc passé une excellente soirée, de celles qui donne la pêche pour les combats à venir.

 

Une réflexion sur « Evry étape du Front de gauche »

  1. Tant mieux si tu as la peche. Vu les combats à venir, il faut aussi avoir la banane. Et comme disait le Grand Condé (1621-1686), quand on veut la guerre, il faut la faire.

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